Culture - La revue 2024 ep.3
Et encore une fois, je suis allée plus vite que prévu pour ce nouvel opus. Car s’il y a moins de lecture, cela a permis d’enrichir les autres rubriques.
Cinéma - Série
- Cocorico de Julien Hervé (2024) : Une énième comédie de Bourdon et Clavier laissait craindre le pire. Ca relève un peu le niveau avec pour thème les tests ADN pour connaître son appartenance géographique. Surtout parce que c’est du théâtre de boulevard filmé avec de bons dialogues. Certes il y a une mégatonne de clichés mais le sujet s’y prète pour dénoncer tous les clichés racistes qui perdurent sur les nationalités. Clavier et Bourdon sont en roue libre, surtout parce que c’est toujours le même rôle. Mais ce n’est pas trop grave, ON RIT (et un peu de soi).
- Chasse gardée de Antonin Fourlon (2023) : Encore une comédie qui joue des oppositions entre citadins et ruraux mais aussi entre chasseurs et non chasseurs. Pas avare de clichés, le film fonctionne plutôt bien pour agrémenter les soirées des grandes chaînes. On ne pouvait échapper au «bon et mauvais chasseur…» mais le film évite d’être trop clivant sur ce sujet. AGRÉABLE.
- Une affaire de principe d’Antoine Raimbault (2024) : Plus qu’un film sur José Bové au parlement européen, c’est un film sur le fonctionnement du conseil de l’Europe, le rôle possible des députés et …sur la chute de José Manuel Barroso. On a finalement peu parlé de ce qui l’a fait finalement partir, suite à des histoires de corruption par le lobby du tabac. On voit l’engagement et la foi qu’il ne faut pas perdre lorsqu’on embarque dans un tel système. Le tout avec des acteurs européens alors que cela peut faire aussi douter de cette institution. INSTRUCTIF.
- La Loi du silence d’Alfred Hitchcock (1953) : C’est un film un peu oublié chez le grand Hitch…Et pourtant la rencontre avec Montgomery Clift. Trop cérébral pour son réalisateur, l’acteur est pourtant fascinant dans ce rôle de prêtre tourmenté par la guerre et tiraillé par l’amour d’une femme et son devoir. Le réalisateur y est moins spectaculaire, moins démonstratif, s’attachant plus aux symboliques et aux regards. Un bel exercice qui mérite bien un revisionnage. MYTHIQUE.
- Un P’tit truc en plus d’Artus (2024) : Encore une énigme du cinéma français : Meilleur démarrage de sa semaine avec 1 millions d’entrées, le film d’Artus est une comédie poussive autour du handicap mental. Un peu alibi comme souvent avec des acteurs issus du Papotin. Je me suis fait chier 2/3 du film et seul le dernier 1/4 h sauve le film. Mauvais montage, mauvaise mise en scène, blagues usées et pas drôles, comique de répétition usé jusqu’à la corde, tout y passe. Je ne vois pas où le film ajoute quelque chose à la cause du handicap. PAS DRÔLE.
- S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace de Gil Kenan (2024) : Encore une suite de la franchise….mais cette fois avec un franc retour des «anciens». Heureusement car c’est assez scolaire, malgré de bons effets spéciaux. Le méchant a de la gueule mais ce qui fonctionnait avec le premier, c’était l’humour dans ce jargon pseudo scientifique. Ca se prend un peu trop au sérieux mais ça reste dans la moyenne. OUBLIABLE.
- Isaac Asimov, L’étrange testament du père des robots (2022) : Un documentaire (Conseillé par mon confrère Sima) sur le célèbre auteur de SF, futurologue à ses heures. Beaucoup de documents vidéos pour retracer à la fois le parcours mais surtout la vision de l’avenir de l’humanité que Asimov pouvait avoir. Terriblement contemporain et il avait compris que le secret est dans ce spécisme auto-destructeur. A VOIR
- Marcello Mio de Christophe Honoré (2024) : Et un film sur le cinéma…à priori. C’est surtout un film pour cinéphile qui peut passer à coté de son public, car il y a aussi d’autres sujets comme la difficulté de savoir qui l’on est, surtout en tant qu’acteur.trice, les souvenirs et la nostalgie vis à vis d’un être aimé. Remarquable performance de Chiara Mastrioanni dans cette sorte de conte où Lucchini cabotine à bon escient, Deneuve s’amuse, etc… On sourit et on rit, on cherche les références cachées, et on peut aussi pleurer pour des parallèles plus personnels à cette histoire. INTÉRESSANT.
- La Vérité de HG Clouzot (1960) : Un gros casting sur ce film de procès où BB est le personnage central. Une intrigue qui mèle aussi une critique de la société française des années 60 avec déjà les racines de ce qui donnera Mai 68. Une série de flashbacks amène le spectateur à ce dénouement que l’on sait déjà tragique mais sans avoir d’opinion particulière. On se la fait peu à peu comme un juré, Clouzot prenant garde de ne pas rendre ses personnages trop sympathiques. Un CLASSIQUE restauré et rediffusé ainsi.
- Corée, une guerre sans fin (2022) : Un documentaire sur cette guerre oubliée mais qui est la charnière entre la seconde guerre mondiale et le Vietnam, comme l’installation de la guerre froide. Le documentaire montre les exactions des deux bords et rappelle le bilan de 2 millions de morts coréens, dont une énorme part de civils et le fait qu’il y a eu plus de bombes US en 3 ans que pendant la 2GM. INSTRUCTIF.
- Titane de Julia Decournau (2021) : Palme d’or sous l’égide de Spike Lee, voilà un film clairement dérangeant. Ca rappelle Crash mais en plus Trash, provocateur, féministe et au delà des genres. Cette héroïne tueuse en série est magnifiquement jouée par Agathe Rousselle. Reste un sentiment mitigé, quand on a passé certains chocs visuels. INCLASSABLE.
- Juliette au Printemps de Blandine Lenoir (2024) : Une sympathique comédie dramatique sur font de secret(s) de famille dopée par un casting haut de gamme. Ce n’est pas original, pas assez rythmé mais ça se laisse regarder justement par ce casting (Izia, Daroussin, Lvovsky, Caravaca…) et ça nous change de l’agitation du monde. SANS SURPRISES.
- Vice et Versa 2 de Kelsey Mann (2024) : La suite d’un des Pixar les plus réussis depuis la fusion Disney. Et ça reste encore très bien avec la double lecture habituelle de Pixar qui permet au film de parler aux plus jeunes, aux ados et aux adultes. On se doutait qu’il y allait avoir de nouvelles «émotions» à l’écran pour illustrer l’évolution de Riley, notre héroïne. REJOUISSANT
- Blue et Compagnie de John Krasinski (2024) : Un adorable film familial sensible et doux comme un bonbon. Nous allons à la rencontre d’amis imaginaires avec une petite fille devenue ados et donc le père est à l’hôpital. Ryan Reynolds est dans un bon contre-emploi et Cailey Fleming n’en fait pas trop. Beaucoup de clins d’oeil à des films classiques et/ou animés pour une histoire pas trop longue et bien réalisée. On en redemanderait presque pour un film qui a une double lecture selon l’age du spectateur. ADORABLE.
Lectures
- Le Cri de Beuglet, Laval et Makyo (2016) : Encore une adaptation d’un bon polar, cette fois dans la série Sarah Geringên de Nicolas Beuglet. On suit donc cette mystérieuse inspectrice norvégienne dans une intrigue mêlant psychiatrie, espionnage et meurtres. C’est déjà bien amené par le scénario mais la mise en image est remarquable, au pinceau et à la plume dans une ambiance gris-bleu et rouge qui sied bien à l’ambiance. On pourra juste reprocher un manque de mouvement dans les scènes d’action. Ca donne envie de lire la suite…en roman. PRENANT.
- Lucky Luke vu par… Les indomptés par Blutch (2023) : J’aime plutôt ce que fait Blutch et faire une série hommage plutôt que des suites, c’est un peu plus pertinent. Reste que je ne suis pas totalement fan du rendu, en dehors de notre héros, rappelant les premiers opus. Mais l’histoire fonctionne bien avec un humour parfois absurde qui poursuivrait bien la série. Les enfants de la famille kinker qui donnent le nom à l’album sont pire que nos Dalton habituels. RAFRAÎCHISSANT.
- La Boite noire de Benacquista et Ferrandez (2000) : Une expérience de mort imminente (EMI) après un accident de la route et voilà la vie de Laurent complètement bouleversée. Car une infirmière a pris des notes de tout ce qu’il disait pendant une sorte de Coma. Secrets de famille et épisodes d’une vie reconstituée, le scénario est intéressant. Dommage que la fin soit simpliste et n’utilise pas la matière qu’il y avait. Le dessin manque parfois d’homogénéité. INEGAL.
- Coffee Time de Tetsuya Toyoda (2014) : Un manga «one shot» autour du thème du café, c’est original. C’est une suite de petites histoires sans lien ou presque, versant parfois dans l’absurde. Le dessin est précis, épuré, et on se laisse guider dans ce manga à sketch…avec un café. ETONNANT.
- Requiem de Mills et Ledroit (2000) : C’est un peu les Chroniques de la lune noir chez les vampires…avec un peu d’Elric dedans. Encore une fois l’intérêt réside dans le dessin de Ledroit et un scénario qui n’est malheureusement pas à la hauteur de ce chef d’œuvre visuel. C’est gothique, c’est gore, c’est steampunk, c’est fantasy, ça emprunte un peu à Enki Bilal et on pourrait passer des heures à regarder les planches et doubles pages. Le drame de Ledroit est de ne pas avoir des scénarios à la mesure de son talent. J’avoue que je m’en fous un peu vu le résultat visuel. MAGISTRAL.
- Remina de Junji Ito (2005) : Un manga à ne pas mettre entre toutes les mains. Junji Ito reste toujours dans le gore et l’horreur avec de la science-fiction pour dépeindre la folie humaine. Ici c’est une planète qui apparaît mystérieusement et est nommée comme la fille du découvreur. Mais bien vite on s’aperçoit que toute l’humanité est menacée et guidée par ses plus bas instincts. On aime ou pas le style du mangaka mais ça fait son petit effet, surtout quand il y a plus de profondeur qu’il n’y parait. DERANGEANT.
- Les Strates de Penelope Bagieu (2021) : Un récit autobiographique d’une dessinatrice/autrice que j’apprécie depuis quelques années. C’est parfois poignant, sinon drôle ou ridicule. Bref, c’est vivant et on passe un bon moment avec cette suite d’instants de vie d’une jeune fille ou d’une femme. A LIRE.
- Les Tuniques bleues 67, du feu sur la glace de Lambil et Kris (2023) : Les Tuniques bleues commencent à sentir une retraite bien méritée. Est-ce qu’au bout de plus de 60 albums, tout n’a pas été dit ou fait ? C’est l’impression que ça m’a donné même si je retrouve toujours nos héros avec plaisir. Il n’y a rien qui sort du lot dans cet album et surtout que je viens de tous les relire assez récemment. FIN DE CYCLE.
- Demi Tour 2.0 de Peeters, Boulet et Guibert (2010) : Une romance improbable autour de la prédestination, dans l’ambiance de la fin de campagne présidentielle de 1995. Une jeune femme de 19 ans et un presque quarantenaire qui se rencontrent à l’un des carrefours de leur vie. C’est plutôt joli avec quelques nudités inutiles pour l’héroïne (BD de mecs…). J’ai un petit problème avec la fin quand même pour vraiment craquer sur cette histoire. Et puis il y a un autre héros assez central et mystérieux. SENSIBLE.
- Pierre Loti : Une vie de voyageur (2023) : Je n’étais déjà pas convaincu par la couverture de cette BD consacrée à l’écrivain aventurier. Le déroulé ne me va pas non plus, n’en disant pas assez, passant du coq à l’ane et puis surtout avec un graphisme simpliste par rapport à la richesse de la vie de Loti et de ses destinations de marin. DOMMAGE.
- Ceux qui me touchent de Damien Marie et Laurent Bonneau (2023) : Une BD qui flirte avec le fantastique en reliant histoires pour enfant et réel d’un père à la dérive. C’est plutôt bien fait avec un graphisme qui plonge dans une ambiance assez noire où l’art côtoie les … abattoirs. On parle d’humain et de souffrance, mais aussi de la pression social. SURPRENANT
- Le Dernier Quai de Nicolas Delestret (2023) : Une BD qui nous emmène dans un étrange hotel dans l’au delà, qui permet aux nouveaux arrivants d’expier leurs regrets. 3 actes pour en savoir plus sur le majordome / maître d’hôtel et ses hôtes. Un dessin moderne et agréable, un récit à rebondissements un peu gâché par un dénouement un peu long mais ça reste touchant par les personnages rencontrés. SENSIBLE.
- Le Feu et la Glace de Cornette et Jürg (2024) : L’histoire d’un film qui n’a jamais été filmé, avec Pabst, Marlene Dietrich, Louise Brooks… Intéressant par le contexte, beaucoup moins pour le dessin pas à la hauteur, et un scénario qui aurait pu être plus approfondi. MOYEN.
- Vivre est dangereux pour la santé de Espé (2024) : Aux éditions Fluide Glacial, on aime l’humour noir. Le thème est celui de la mort, de la maladie et de l’humain, avec un ton très acide. Comme tout recueil à sketch, c’est inégal et j’avoue que j’ai été globalement un peu déçu.
- Le Droit du sol d’Etienne Davodeau (2021) : Une randonnée de l’auteur-dessinateur à travers la France pour parler … du sol, de ce que l’humain en fait et notamment de l’enfouissage des déchets nucléaires à Bure. Il met en scène des interlocuteurs comme des compagnons de randonnée et traverse ainsi la France des campagnes. C’est riche en dialogue, parfois touffu et toujours passionnant, rappelant quelques vérités au défenseurs de cette «énergie propre», notamment les méthodes mafieuses. Le dessin est toujours fidèle au style Davodeau malgré la longueur du périple. Ne manque juste que quelques contradictions, mais le camp adverse le fait-il ? A LIRE.
- Samurai Gunn de Valentin Seiche (2023) : Entre BD et manga, ce one-shot nous entraîne dans un univers SF/Fantasy japonisant. Malheureusement, le scénario est un peu brouillon autant que beaucoup de planches qui manquent de finesse par rapport au modèle japonais. DOMMAGE.
Musiques et Sons
- Chronicles of the Kid d’Ayron Jones (2023) : Ah, enfin un album rock d’un guitariste chanteur qui mêle des influences blues et hard-rock avec une voix qui rappelle Lenny Kravitz. Du solo de Strat à revendre, des inspirations très Hendrixiennes ou Vaughanienne aussi ce qui n’est pas pour me déplaire. On peut même y ressentir quelques pointes de Grunge. Apparemment, c’est une refonte de ses premiers EP pour une partie de l’album. SO ROCK !
- Prelude to ecstacy de The Last Dinner Party (2024) : Un Girlsband pop-rock, ça faisait longtemps et en plus c’est un des groupes qui monte. Il faut dire que l’album fonctionne bien, se bonifiant à l’écoute avec certes une impression de déjà entendu mais quand même une particularité qui s’installe. C’est rock, un peu, ça rappelle parfois du Kate Bush, les Sparks, et d’autres références un peu rétro avec une touche de modernité… A DECOUVRIR.
- Waiting for the Night d’Audrey Horne (2020) : Le premier live de ce groupe hard-rock norvégien. Les hits des meilleurs albums (2010-2013) y sont et le son ne me paraît pas trop retouché pour donner l’impression d’y être. Évidemment, ça parle norvégien entre les titres…Et ça ne gache pas le plaisir. A ECOUTER sans modération.
Jeux vidéo
- Need For Speed Shift sur Xbox 360, PS3, PC : J’ai relancé la XBOX pour y rejouer sur Silverstone et Spa. A l’époque, le jeu faisait déjà débat par rapport à Forza. C’est un peu arcade, pas mal simulation mais ça manque de précision à la manette. Au volant, ça se discute. Mais il y avait Spa et ça, ça ne se refuse pas. A rejouer avec mes voitures de l’époque, je me suis demandé comment je faisais. J’ai sué à grosses gouttes pour finir 3 tours en étant premier sans trop de casse. L’impression de dompter un monstre alors que je suis en catégorie GT. Les graphismes ont vieilli, surtout en replay. L’IA était moyenne et les collisions pas terribles. A jouer en mode cockpit et on s’y croirait. Après acclimatation, j’aurai passé du temps à nouveau. UN CLASSIQUE.
- Gottlieb Pinball Classics sur PSP : Une compilation de vieux flippers sur la vieille PSP. La physique est un peu plus molle que d’ordinaire pour des flippers qui datent aussi mais sont dignes d’intérêt… pour les fans du genre. Comme toujours, il faut débloquer des crédits en jouant, en atteignant des buts, ce qui fait immanquablement progresser son High score. Un voyage dans le temps bien sympa. RETRO.
- The World ends with you sur NDS, Switch, Android : Une jeu de la fin de vie de la DS qui est un peu passé inaperçu, à part pour les amateurs. C’est un Action RPG dans le sens où les combats nécessitent de prendre le stylet ou le pad. Mais ce qui frappe, c’est surtout le style très moderne du jeu (Cell Shading), qui se passe à Shibuya. Pas d’Heroic Fantasy ou de SF mais une histoire contemporaine au style très pop/hip hop avec du fantastique autour. Bref, une ambiance très manga. Je ne suis pas convaincu du tout par le système de combat et les dialogues sont trop hachés à mon goût. Mais l’histoire est originale et la réalisation fait oublier que l’on est sur une DS, notamment avec sa bande son. Square Enix a sorti ensuite le jeu sur Swicth et Android. Mais l’aspect technique est moins époustouflant maintenant. A REDÉCOUVRIR
- Kingdom Hearts 358/2 days sur NDS : Dans la série Kingdom Hearts, je veux le dernier épisode de la DS…Ce cross-over entre Square Enix et Disney a toujours été dans les RPG action. Cette fois, il donne l’impression d’un jeu de PS1 passé sur la petite console portable double écran. C’est impressionnant mais quand même un peu vide pour les décors. L’aventure est progressive et pas inintéressante. Mais le gros problème pour moi, c’est la caméra et les contrôles pas très logiques de l’ensemble. Ca gâche un peu l’immersion dans cet univers. CLINQUANT.
- 3 count bout sur NeoGeo : Un jeu de catch de 1993 sur borne et console SNK. De très gros sprites et des contrôles très arcade avec appui frénétique sur les boutons et agitation de joystick. Autrement dit, il faut une vraie manette arcade, pas un pauvre D-Pad et des petits boutons. Un jeu très rétro mais dont la mécanique reste intéressante. Évidemment l’animation est très 90s mais c’est fun. ORIGINAL
- Super Baseball 2020 sur NeogGeo : Voilà donc comment on voyait le Baseball en 2020 il y a plus de 30 ans. On reste dans une mécanique classique dans une simulation de baseball, sauf qu’il y a des robots en plus. Un coup on est batteur, un coup on est lanceur et receveur. On s’ennuie un peu et les contrôles du lancer se font à l’aveugle. On verra mieux par la suite, même si le genre n’a jamais vraiment eu de hits. ENNUYANT
- Dragon Quest IV, l’épopée des élus sur NES, NDS, PSX, Android et IOS : Plutôt que l’original, j’ai préféré le remake sur DS à la version de 1990. Cette fois, on a droit à plusieurs histoires séparées avec des …élus. Évidemment, il y a la musique mythique mais aussi le design des personnages par Akira Toriyama sur ce remake. On fait toujours des combats pour le levelling des personnages et récupérer les armes et armures au max. La difficulté est très progressive et permet de bien appréhender un jeu qu’il faudra maîtriser en plus de 40 heures….plutôt 80 pour moi. C’est qu’on s’attache à tous ces personnages et on aimerait ne pas avoir à choisir. Le graphisme est au top pour l’époque et ce genre 2D/3D. MAGNIFIQUE.